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Programme9h30-10h. Accueil Pause offerte par Sorbonne Université
10h-10h15. Présentation de la journée, les objectifs et les attendus Animateurs : V. Legué et E. Augé
10h15-12h15. Ateliers
Atelier 1 : stratégies institutionnelles et communications L’enquête du MESR auprès des établissements a montré que beaucoup se sont dotés d’une charte, d’un schéma stratégique ou d’une feuille de route en matière de science ouverte. Il s’agit maintenant de discuter la manière dont chaque établissement met concrètement en œuvre sa politique et les obstacles qu’il rencontre pour généraliser les pratiques de la science ouverte.Comment sensibiliser tous les acteurs de la recherche à la science ouverte ? quelles incitations pour faire évoluer leurs pratiques ? Quel rôle pour des exemples vertueux ? Que peut-on imposer ? Comment mesurer les bénéfices de la science ouverte pour un chercheur ? pour une équipe ? pour un établissement (notoriété, influence, attractivité) ? Coordination avec la politique en matière d’évaluation de la recherche et des chercheurs (en lien avec CoARA) ? Quels moyens faut-il mettre en œuvre (humains et financiers) ? Quel rôle pour de la sous-traitance (édition, hébergement informatique, …) ? Chaque établissement mène sa propre politique, mais comment assurer une coordination au plan national et européen, sachant qu’une fraction importante de l’activité de recherche est réalisée dans le cadre de collaborations internationales. De plus, une fraction importante de cette activité est menée au sein d’unités mixtes sous cotutelle d’organismes nationaux de recherche.Quels apports et influences attend-on de la politique nationale (PNSO, Baromètre) et de l’Europe (exemples : coordination des éditeurs publics diamant, EOSC) ? Comment obtenir une synergie avec les ONR ? A quel niveau engager les échanges (unité, site/délégation régionale/DS , national) ? Que peut apporter France-Universités ?Atelier 2 : les services proposés et leur évolution Chaque chercheur devra s’impliquer de plus en plus pour faire évoluer sa pratique en faveur de l’ouverture de la science mais, malgré le bénéfice attendu, cela ne doit pas être perçu comme une charge administrative supplémentaire pesant sur eux. Le déploiement de la science ouverte passe donc par la définition et la mise en œuvre de nouveaux services de soutien à la recherche. Comment définir les services ? Répondent-ils aux besoins identifiés ? Contribuent-ils au développement de la pratique ? Quels retours d’expériences ? quelles modalités de retour d’expériences (indicateurs ?) ? Comment assurer la cohérence en différents services à la recherche ? Quels profils/compétences pour les personnes en charge de ces services (aide à la publication, édition, rédaction de PGD, curation de jeux de données, gestion d’un dépôt institutionnel, codes et logiciels…) Quelle interaction/partage du travail entre services et chercheurs ? 12h30-14 h. Pause déjeuner Repas offert par France Universités
14h–15h. Restitution des ateliers, échanges
15h –16h15. Echanges et discussions : bilan et perspectives du réseau
Notre réseau des référents Science Ouverte a été mis en place il y a presque 5 ans, en septembre 2020, dans le but d’inciter chaque établissement à nommer un référent Science Ouverte et à favoriser des discussions sous une forme aussi libre et informelle que possible entre référents. Ce réseau coexiste aujourd’hui avec divers groupes de travail et réseaux consacrés à la science ouverte : Assemblées des partenaires et réseau des ambassadeurs HAL du CCSD, GT SO organisé par COUPERIN, réseau des ateliers de la donnée, ou encore réseau des administrateurs des données, algorithmes et codes (ADAC), collèges de « ouvrir la science »… Dans ce contexte, il apparaît désormais indispensable de réviser les missions de notre réseau pour les 5 prochaines années. Animateurs : E. Augé et V. Legué Les attentes et perspectives du réseau : Quelles sont nos attentes vis-à-vis de notre réseau ? Ces attentes sont-elles satisfaites ? Comment le réseau pourrait-il mieux contribuer au développement de la politique SO de chaque établissement ? Est-il pertinent pour influer sur la gouvernance d’une université (en renfort de son référent SO)? Quel lien avec France-Universités ? Quelle capacité à remonter des messages ? A répondre collectivement à une demande d’expertise arrivant de France Université ? Relation avec les différents partenaires/institutions : Quelle reconnaissance par les diverses institutions de l’ESR (SPSO, ANR, HCERES…) et réseaux de l’ESR ? Organisation et gouvernance du réseau : Est-il pertinent de mettre en place un bureau du réseau ? Cela pourrait-il contribuer à une meilleure organisation et animation du réseau compte-tenu de ses missions futures ? 16h15-16h30. Conclusions X. Leroux, Président de l'Université du Sud Toulon Var, Vice-Président science ouverte et politique éditoriale à France Universités. Président de l’Alef (Alliance des éditeurs scientifiques publics français).
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